La Dêpeche du Midi - Mars 2024

Lavernose-Lacasse. "L’affaire conclue" des 10 jours de fête de la Fusion.

Article du 01/03/2024

"L'affaire conclue"./Photo DDM.

 

60 ans ! Le compte tout rond de la fusion des communes de Lacasse et Lavernose a donné lieu à 10 jours de festivité qui ont démarré fort ! La soirée s’est finie à la salle des fêtes, avec une nouvelle pièce de théâtre "Affaire conclue".

Ecrite et mise en scène par l’infatigable Guy Rodriguez qui a toujours une imagination débordante pour créer des situations cocasses que le public suit par ses applaudissements nourris, cette pièce de théâtre a rassemblé beaucoup de monde ; dont les personnes du foyer "vivre ensemble" toujours partantes pour les festivités de la commune et qui installées aux premières loges, n’étaient pas en reste pour exploser de rire.

Avec une organisation "tip top" selon les spectateurs, l’association Les Gens d’Ici s’occupait des entrées et de la buvette. La nouvelle équipe a communiqué sa bonne humeur au public par une soirée légère.

Pour de jeunes adultes dont c’était une première sortie au théâtre, le cocktail – calembours, petites piques sur l’actualité, lubricité – a été révélateur pour donner l’envie de revenir. Et le public de finir la phrase fétiche du personnage principal Jean : "T’inquiète pas, … je gère !". Le théâtre de boulevard a encore de beaux jours devant lui.

Emmanuelle Grayerie.

 


  

La Dêpeche du Midi - Mars 2017

Succès pour le Théâtre du Bac

Article du 01/03/2017

Succès pour le théâtre du bac./Photo DDM, C.T

 

L'Espace Gérard-Philipe accueillait samedi à 20 h 30 la troupe du Théâtre du Bac du Fauga pour une représentation de la pièce «Le SMS de trop !», comédie de Guy Rodriguez, interprétée par Florence Angot, Patrick Baylac, Lucienne Morere, Mira Puyo et Guy Rodriguez lui-même. Près de deux cents personnes s'étaient donné rendez-vous pour applaudir et éclater de rire suite aux différents quiproquos, situations vaudevillesques et cocasses. Une histoire où le ridicule ne tue pas toujours, et surtout pas Max Boitaclou qui écume les sites de rencontres et notamment VTMEPM. com (Vire Ton Mec Et Prends Moi.com) à la recherche de relations sans lendemain. Une heure et cinquante minutes d'une comédie hilarante et tout public qui a su plaire aux nombreux Frontonnais présents.

 


  

La Dêpeche du Midi - Novembre 2016

Belle soirée au théâtre

Article du 10/11/2016

Soirée détente réussie avec le comité des fêtes et la troupe du Théâtre du Bac./Photo DDM, C.T

 

Soirée théâtrale réussie pour le comité des fêtes, avec la participation des acteurs et comédiens du Théâtre du Bac venus interpréter la dernière création de Guy Rodriguez «Le SMS de trop» dans une salle des fêtes Lagardelloise devenue trop petite en la circonstance.

Booster le rire éviter la déprime tout comme le comité vous avez fait le bon choix. Le choix de venir vous détendre devant cette pièce théâtrale vaudevillesque : Le SMS de trop. Ce SMS c'est celui de Max Boitaclou qui écume les sites de rencontres et notamment VTMEPM.com (Vire Ton Mec Et Prends Moi.com) à la recherche de relations sans lendemain. Evidemment, ses SMS n'arrivent pas toujours aux bons destinataires. Cela va l'amener à croiser des personnages truculents, hauts en couleurs et déclencher une suite de quiproquos, de situations cocasses, dont les acteurs invitent les spectateurs à dénouer les fils pendant une heure trente d'une comédie hilarante.

 


  

La Dêpeche Du Midi - Mai 2016

Théâtre: le bon remède anti-stress

Article du 07/05/2016 :

 
Salle comble au Château pour accueillir les comédiens du Théâtre du BAC./Photo DDM, C.T
 

Entrée remarquable de Guy Rodriguez, Florence Angot, Patrick Baylac, Lucienne Morere, Mira Puyo sur la scène de Cierp-Gaud où les cinq comédiens du Théâtre du BAC ont séduit, enchanté et faire rire près de 80 personnes. Petits et grands furent embarqués pendant près de 2 heures dans «le SMS de trop», une pièce écrite, mise en scène et également interprétée par Guy Rodriguez. «Ça a été très amusant, très détendu», confie Lucienne du comité d'animation de la mairie de Cierp-Gaud qui avec Yvette ont eu raison d'inviter cette troupe théâtrale incroyablement drôle qui a vite dissipé tous les maux. Un vrai remède anti-stress et anti-morosité dont Lucienne et Yvette ont noté la formule qui consiste à remettre ça en fin d'année ! Elles vont en effet s'attacher à organiser une nouvelle soirée théâtre, à reprendre les bonnes habitudes comme auparavant en invitant la population et les populations voisines à venir goûter au plaisir du théâtre et du spectacle.

 


 

La Dêpeche Du Midi - Avril 2016

Un sms de trop

Article du 28/04/2016 :

Guy Rodriguez et Patrick Baylac./Photo DDM

Salle des anciennes écoles comble d'un public venu applaudir «Un SMS de trop», la dernière pièce de théâtre de Guy Rodriguez. Avec ses comparses, Florence Angot, Lucienne Morère, Mira Puyo et Patrick Baylac, Guy a tenu en haleine, durant une heure trente, une assistance conquise par une histoire menée tambour battant : Max Boitaclou, à la recherche de relations sans lendemain, écume les sites de rencontre envoyant des SMS qui n'arrivent pas toujours à la bonne personne. Une situation qui provoque une suite de quiproquos tous plus hilarants les uns que les autres, autour de personnages improbables, que rien ne prédestinait à se rencontrer, frôlant parfois le ridicule. Une comédie qui s'inscrit dans la pure tradition de la comédie de boulevard, euphorisante à souhait, où l'on fait le plein de rires.

Depuis son arrivée au théâtre du BAC, il y a 20 ans, Guy Rodriguez, n'a cessé d'écrire. C'est la cheville ouvrière de la troupe, à la fois scénariste, décorateur et metteur en scène. Avec «Un SMS de trop», il signe sa quinzième pièce. Cette petite troupe d'amateurs peut se targuer d'un réel succès populaire. De fait, son agenda est complet jusqu'en février 2017.

 


 

 La Dêpeche Du Midi - Mars 2016

Le théâtre du bac: Pas de «SMS de trop» pour Guy Rodriguez

Article du 05/03/2016 :

Guy Rodriguez et Lucienne Morère./ Photo DDM


Le Théâtre du bac du Fauga n'a pas eu à prendre le bac d'Estantens A la salle des fêtes, les comédiens et les Estantinois ont abordé à la même rive (gauche de la Garonne). Celle du rire, de l'énergie distillée par le théâtre de boulevard dans les villages du muretain par une équipe maintenant bien rôdée.
Guy Rodriguez écrit des textes resserrés et percutants, tout en gardant son inénarrable jeu de scène qui déclenche les rires dès qu'il apparaît. Ses quatre autres coéquipiers (Florence Angot, Patrick Baylac, Mira Puyo, Lucienne Morère) ont l'abattage qu'il faut pour l'épauler sur scène et maintenir le rythme. La dernière comédie faugatienne s'intitule «Le SMS de trop». Les nombreux spectateurs de la salle des fêtes d'Estantens en auraient même demandé un de plus.

 


 
 La Dêpeche Du Midi - Février 2016

Le théâtre du bac : Pas de «SMS de trop» pour Guy Rodriguez

Article du 18/02/2016 :

Guy Rodriguez./ Photo DDM

Ce samedi à 21h, Le «Théâtre du bac» (du Fauga) sera à la salle des fêtes d'Estantens pour présenter « Le SMS de trop !», la dernière création de Guy Rodriguez. Rencontre avec cet auteur prolifique fidèle au théâtre de boulevard.

Votre vie, c'est toujours du théâtre ?
On ne le dirait peut-être pas, mais je suis conseiller financier retraité. Je suis arrivé au «Théâtre du bac» il y a vingt ans. Après quelques essais dans des sketches, j'ai plongé dans l'écriture de pièces de théâtre, avec un premier essai transformé sous le titre de «Bistrot». Ce troquet comme on les aime a été le berceau d'une suite de 12 créations dont certaines sont restées dans les mémoires : «Le fabuleux destin d'une carpe» vue par près de 2500 spectateurs, «Le corbillard rose» que certains spectateurs aimeraient revoir sur les planches…

C'est toujours du théâtre de boulevard ?
Ma vocation a été suscitée par la fameuse émission de télévision « Au théâtre ce soir» que les moins de vingt ans n'ont pas eu la joie de connaître. Je n'écris que pour le plaisir d'entendre des rires monter vers nous dans les salles où l'on se produit. La création théâtrale au cœur du milieu rural prend une signification particulière quand Le Théâtre du bac s'en mêle.

Vous prenez votre inspiration dans l'actualité. Alors, ce «SMS de trop» ?
C'est celui de Max Boitaclou qui écume les sites de rencontres et notamment VTMEPM.com (Vire Ton Mec Et Prends Moi.com) à la recherche de relations sans lendemain. Evidemment, ses SMS n'arrivent pas toujours aux bons destinataires. Cela va l'amener à croiser des personnages truculents, hauts en couleurs et déclencher une suite de quiproquos, de situations cocasses, dont nous invitons les spectateurs à dénouer les fils pendant une heure quarante. Evidemment, la comédie est tous public.

Entrée : 6 euros. Gratuit pour les moins de 12 ans.

 


 

La Dêpeche Du Midi - Théléthon 2015

Article du 04/12/2015 :

Des applaudissements bien mérités./Photo DDM


Alors, il y a Max, beau parleur, accroché à son portable en quête d'une «Brenda» sur un site de rencontre pour agrémenter son ordinaire. Cependant, «Tutu», sa femme s'évertue à contrarier ses petits arrangements, d'autant plus qu'elle se perd en attente de son «Momo» qui doit l'accompagner en Espagne.
Un faux/vrai cambrioleur recueille les confidences ainsi que les différentes «Brendas» à qui Max envoie ses invitations par erreur ! Quiproquos, rencontres farfelues et bons mots ont grandement amusé une salle des fêtes bien pleine venue les applaudir avec un samedi d'avance.
La troupe du théâtre du Bac, menée par Guy Rodriguez évolue sur des textes écrits et mis en scène par lui-même et assisté de Patrick Baylac, Florence Angot, Mira Puyo et Lucienne Morère. Ils sont des fidèles du téléthon et, en plus, les Faugatiens ont eu la primeur de leur nouvelle pièce.


 

La Dêpeche Du Midi

Article du 10/04/2015 :


Au théâtre du Bac samedi soir

La fameuse troupe du théâtre du Bac va encore amuser le public
Samedi 11 avril, la troupe du Théâtre du Bac monte à 20 h 30 sur les planches de l'espace culturel François Mitterrand pour la dernière représentation de leur pièce «Mais quelle affaire !». Une fois de plus, il s'agit d'une comédie de Guy Rodriguez qui interprète aussi un des personnages «J'en ai écrit plus d'une dizaine, souligne l'auteur. La toute première, c'était il y a 20 ans». Rencontre.

Qu'est-ce qui vous inspire ?
Les évènements, les situations dans la vie comme à la télévision. Pour «Mais quelle affaire !», je me suis inspiré de ces personnes qui viennent à la télévision parler de leur soi-disant livre, dont ils ne sont même pas l'auteur. La pièce précédente «Pension de famille» m'a été inspirée par ces personnes rigides qui se retrouvent dans des situations qu'ils n'ont pas l'habitude de vivre. J'aime les situations rocambolesques. Il y a toujours dans mes pièces un personnage dans un univers décalé. Dans «Le corbillard rose», c'était l'histoire d'un homme efféminé qui se retrouve dans un milieu dont il n'a aucune idée.

Qu'est-ce qui vous plait dans ce loisir ?
J'aime créer des histoires, tout autant que les jouer. J'aime être sur scène, et le plaisir ultime sont les rires durant les pièces et les applaudissements des spectateurs à la fin. Je suis actuellement en train d'écrire la prochaine pièce, la première est en général présentée à l'occasion du Téléthon. Nous formons une bonne équipe, dont fait partie Patrick Baylac qui était à l'origine de l'association il y a 26 ans.

Qu'est-ce que «Mais quelle affaire !» ?
Léon Bacouillard aurait pu être un parfait caméléon tant il change facilement d'opinion ou de conduite selon les circonstances. Sa mythomanie l'emmène à se prendre pour un écrivain, bien que depuis plusieurs années il n'a pas écrit une ligne et vit aux crochets de son ex-femme. Mais divers concours de circonstances et une suite de quiproquos et de malentendus vont peut être lui donner raison.

Entrée 8 € (6 € pour les adhérents) avec une boisson offerte avant le spectacle. Réservation conseillée au 05 62 11 62 66 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 


 

La Dêpeche Du Midi

Article du 28/02/2015 :

Les comédiens de la Troupe de théâtre du bac dans «Mais quelle affaire !» /PHOTO DDM. GP.


Est-ce en raison des liens forts avec la troupe de théâtre Les Galapians, ou parce qu'elle compte en son sein des figures locales ? La troupe de théâtre du bac est bien (aussi) la troupe «chouchoute» du public de Lavernose-Lacasse, qui l'a encore largement prouvé par ses applaudissements sans fin, lors de leur dernier passage fin 2014. La troupe présentait «Mais quelle affaire !» la nouvelle comédie de Guy Rodriguez qui ne manque jamais d'imagination. Le public a eu le plaisir de retrouver sur scène Florence Angot, Patrick Baylac, Christel Desanjuan, Lucienne Morere, Mira Puyo et Guy Rodriguez, dans une aventure bien d'actualité... : Léon Bacouillard aurait pu être un parfait caméléon tant il change facilement d'opinion ou de conduite selon les circonstances. Sa mythomanie l'emmène à se prendre pour un écrivain bien que depuis plusieurs années il n'a pas écrit une ligne et vit aux crochets de son ex-femme. Mais divers concours de circonstances et une suite de quiproquos et de malentendus vont peut-être lui donner raison.
Une comédie enlevée, interprétée par de talentueux comédiens, pour une heure trente de spectacle qu'on ne voit pas passer, avec le jeu de qualité des artistes soutenu, rythmé et assuré dans les canons de la comédie de boulevard.
Le public qui aurait manqué cette comédie tous publics, ou qui voudrait la revoir, pourra la retrouver très prochainement aux alentours. En effet, leurs prochaines dates de représentation sont : samedi 28 février au Théâtre municipal de Muret, à heures, (Entrée 8 € 6 € pour les adhérents du service culturel). L'occasion de passer une bonne soirée, à rire !

20 h 30 (Entrée 5 € gratuite pour les moins de 12 ans), samedi 28 mars à Saint-Elix-le-château à 21 heures (Entrée 5 € gratuite pour les moins de 18 ans), et samedi 11 avril à l'Espace Culturel François Mitterand de Labarthe-sur-Lèze à 21


 

La Dêpeche Du Midi

Article du 27/11/2014 :

photos

A Mauzac - Hilarante scène ente L. Bacouillard, son ex femme et son ami Cabillaud. /PHOTO DDM. GP.

Soirée théâtre en la salle des fêtes organisée au profit de l'association humanitaire mauzacaise «la main sur le cœur» en partenariat avec les comédiens du théâtre du bac du Fauga. Fidèles à la comédie de boulevard, la troupe de Guy rodriguez a présenté «Mais quelle affire», une comédie loufoque et hilarante écrite et mise en scène par G. Rodriguez. Rencontre.

Présentez nous «mais quelle affaire»
C'est la petite dernière du théâtre du bac, écrite depuis 2013, bien rôdée et vue par un public nombreux. Changeant d'opinion selon les circonstances et totalement mythomane, Léon Bacouillard se prend pour un écrivain alors qu'il n'a jamais écrit une ligne et vit aux crochets de son ex femme... Quiproquos, malentendus vont finir par lui donner raison. Avec mais quelle affaire, on retrouve tous les ingrédients qui composent la comédie de boulevard. Les acteurs s'amusent autant que le public.

Qui ou quoi vous a inspiré cette pièce?
J'en avais marre de voir à la télévision en particulier des «types» pseudo écrivains présenter des livres sans jamais rien avoir écrit.

Où puisez vous votre inspiration?
J'imagine mes personnages en regardant tout ce qui m'entoure. Mon imagination est très fertile et naturelle. Ensuite je fais une caricature du quotidien, puis je commence à écrire.

L'écriture, un long travail?
Une pièce demande 3 mois d'écriture. Elle est ensuite réécrite au moins 5 fois avant de débuter les répétitions. L'écriture du texte représente 10% du travail. J'écris, puis on répète et en répètant on pense à la réaction du public, on travaille le rire dans la salle. Le texte évolue au fil des répétitions selon l'actualité. Des répliques sont rajoutées à l'envie à chaque représentation. Quand on joue avec les mots on peut tout dire, prendre les élites à revers. Tout est réalisable.

Présentez nous le théâtre du bac?
Il a été crée il y a 25 ans par Patrick Baylac au Fauga. Composé de six comédiens, c'est un des rares qui créé lui même ses pièces et anime la culture dans le milieu rural. Même si nous jouons à Toulouse et sa banlieue, nous aimons le rural et la France d'en bas. Tous amateurs, nous formons un groupe et sommes complices.


 

La Dêpeche Du Midi

Article du 10/10/2008 :

"Le théatre du bac fidèle à son credo Le Théâtre du Bac fête cette année ses 19 ans . Fidèle à son credo, la comédie de boulevard, il interprètera dès le 11 octobre à Ox à 21h à la salle des fêtes et ensuite sur de nombreuses scènes de la région, sa dernière création, « Le Corbillard Rose ».
La pièce conte l'histoire d'Aimé Trinqueballe, personnage très efféminé, qui a hérité des Pompes Dugland funérarium. La société a de grosses difficultés financières et Aimé Trinqueballe croit trouver la solution à ses soucis quand l'un de ses clients est réclamé par trois de ses protégées hautes en couleurs. La situation devient des plus cocasses, et les répliques fusent. Tout au long du déroulement de l'histoire, les jeux de mots, le jeu des acteurs toujours en mouvement vont tenir en haleine un public conquis par cette histoire d'un comique enlevé, interprétée par des comédiens de talent.
Cette pièce, écrite sur mesure et mise en scène par Guy Rodriguez pour les cinq comédiens de la troupe, s'est jouée à guichets fermés à Bax et à Muret au premier semestre 2008. Une comédie qui n'est pas sans évoquer les fameuses soirées théâtre de la télévision « Au Théâtre Ce Soir ». Le Théâtre du Bac vous promet du rire, rien que du rire.
Avec Florence Angot, Patrick Baylac, Valérie Magro, Karine Sid et Guy Rodriguez".

Lien de l'article sur la Dépêche du Midi

 


 

La Dêpeche Du Midi

Article du 04/02/2000 :

"Né de l'envie de commémorer le bicentenaire de la Révolution au Fauga, le théâtre du Bac est devenu au fil des ans un tonique défenseur du théâtre rural. Les Muretains ont pu goûter son sens de la parodie, lors du festival Diaz de Muret.
C'était en 1989, il y a donc maintenant dix ans. En cette année de la commémoration du bicentenaire de la Révolution, trois Faugatiens décident d'écrire quelques petits sketches pour participer aux manifestations prévues sur le village. De ces trois «ancêtres» fondateurs, seul Patrick Baylac, est toujours dans la troupe. Une troupe qui se structure et qui prend le nom de Théâtre du Bac, en référence évidente à ce qui fait la particularité du Fauga : le bac sur la Garonne qui relie le village au quartier de L'Aouach et à sa chapelle de Notre-Dame.
Pendant sept ans, la troupe s'essaie à des saynètes empruntées au théâtre de Bouvard et même à une pièce «sérieuse» : Noix de coco, de Marcel Achard.

Tournant

Un nouveau tournant est pris avec l'arrivée de Guy Rodriguez, un conseiller financier qui, une fois qu'il a tombé son costume-cravate, devient peintre, sculpteur, musicien et surtout joyeux trublion. Installé depuis dix ans au Fauga avec sa famille, il dit être venu au théâtre du Bac «parce qu'il en a entendu parler», en compagnie de Cathy Saison et d'Olivia Colineau. Constatant qu'il «fallait renouveler le répertoire», il se met à écrire, d'abord quelques sketches, puis des pièces entières. C'est ainsi que sont nées les inénarrables Bistrot et Pas de panique sur le Titanique, qui draînent un millier de spectateurs chaque année et assurent la réputation de la troupe.
Mais le succès de textes parodiques ne suffit pas à expliquer cet engouement du public.
«Nous avons voulu évoluer radicalement, poursuit Guy Rodriguez et faire évoluer le théâtre en milieu rural».
Attiré par des textes «faciles», selon ses propres termes, les spectateurs ont droit à de véritables décors, à des lumières et du son dignes de troupes professionnelles.
La troupe investit 10.000-F de matériel par an, c'est-à-dire tous les bénéfices tirés de ses recettes, sachant qu'elle reçoit 1.500-F de subvention de la municipalité, que l'entrée du spectacle est fixée à 30-F pour les adultes, qu'elle est gratuite pour les enfants, que les acteurs amateurs paient une cotisation de 100-F et qu'ils ne se font même pas rembourser leurs frais de déplacements ! Ce désintéressement et cet enthousiasme transparaissent aussi sur la scène, où les acteurs ont l'air de bien s'amuser, tout en sachant leur texte sur le bout du doigt : il y a «répét» tous les mercredis soirs !

Un théâtre dans le théâtre

Pour pouvoir jouer dans les villages, rarement pourvus de scènes de théâtre, la troupe a trouvé la solution : le décor de chaque pièce prend place dans un décor représentant un théâtre. Et c'est ainsi que le Fauga (à tout seigneur, tout honneur, et qui bénéficie en outre de sketches pour chaque Téléthon), mais aussi Saint-Elix-leChâteau, Eaunes, Grépiac, Auterive ont pu voir se monter le fameux bistrot où se cristallise la vie du village, le non moins fameux salon de coiffure du Titanique, où se cristallise la vie du bateau et verront bientôt la cuisine de la rue RMI où se cristallisera la vie des «petites gens» auxquels Guy Rodriguez voue une affection particulière et dans lesquels ses spectateurs se reconnaissent."

 


 

La Dêpeche Du Midi

Article du 22/11/2014 :

Soirée théâtre en la salle des fêtes organisée au profit de l'association humanitaire mauzacaise «la main sur le cœur» en partenariat avec les comédiens du théâtre du bac du Fauga. Fidèles à la comédie de boulevard, la troupe de Guy rodriguez a présenté «Mais quelle affaire», une comédie loufoque et hilarante écrite et mise en scène par G. Rodriguez. Rencontre.

Présentez nous «mais quelle affaire»?

C'est la petite dernière du théâtre du bac, écrite depuis 2013, bien rôdée et vue par un public nombreux. Changeant d'opinion selon les circonstances et totalement mythomane, Léon Bacouillard se prend pour un écrivain alors qu'il n'a jamais écrit une ligne et vit aux crochets de son ex femme... Quiproquos, malentendus vont finir par lui donner raison. Avec mais quelle affaire, on retrouve tous les ingrédients qui composent la comédie de boulevard. Les acteurs s'amusent autant que le public.

Qui ou quoi vous a inspiré cette pièce?

J'en avais marre de voir à la télévision en particulier des «types» pseudo écrivains présenter des livres sans jamais rien avoir écrit.

Où puisez vous votre inspiration?

J'imagine mes personnages en regardant tout ce qui m'entoure. Mon imagination est très fertile et naturelle. Ensuite je fais une caricature du quotidien, puis je commence à écrire.

L'écriture, un long travail?

Une pièce demande 3 mois d'écriture. Elle est ensuite réécrite au moins 5 fois avant de débuter les répétitions. L'écriture du texte représente 10% du travail. J'écris, puis on répète et en répètant on pense à la réaction du public, on travaille le rire dans la salle. Le texte évolue au fil des répétitions selon l'actualité. Des répliques sont rajoutées à l'envie à chaque représentation. Quand on joue avec les mots on peut tout dire, prendre les élites à revers. Tout est réalisable.

Présentez nous le théâtre du bac?

Il a été crée il y a 25 ans par Patrick Baylac au Fauga. Composé de six comédiens, c'est un des rares qui créé lui même ses pièces et anime la culture dans le milieu rural. Même si nous jouons à Toulouse et sa banlieue, nous aimons le rural et la France d'en bas. Tous amateurs, nous formons un groupe et sommes complices

Avec Florence Angot, Patrick Baylac, Valérie Magro, Karine Sid et Guy Rodriguez".

Lien de l'article sur la Dépêche du Midi



St Hilaire

Article du 15/03/2005



Lavernose Lacasse

Article du 25/03/2005